Christmas cat

Bientôt la fête de la citrouille...

Recette automnale

C'est officiel ! Nous sommes en automne... 

les jours raccourcissent, on ramasse les marrons tous frais tombés sur les trottoirs de Paris et ayant échappés aux balayeurs, on ressort les petites laines...

Et on a envie de faire des gateaux. 

Ben oui, c'est bizarre, comme pour se préparer à l'hibernation, le corps réclame des calories et des odeurs de vanille tiède dans la maison. 

Alors, si comme Lucy vous êtes une piètre cuisinière, faites vous plaisir avec la recette la plus simple du monde (niveau 5 ans)...
Le Gâteau au Yaourt !

Le tuyau qui change la vie (au moins)

Avis à toutes les filles qui ont envie de changer de tête pour la rentrée !

Fini les improvisations, la bouche en cœur en sortant d'une réunion Plan d'action  et ambitions du Groupe: 

"vous avez de la place pour une coupe?". 

Tout doit être planifié, organisé, parfaitement maitrisé.

Oui, car même si on est bien décidées à exploser de rire (jaune) quand on nous dit que les Mayas nous ont prévu la fin du monde pour bientôt en consultant les astres, on est quand même prêtes à croire à l'influence de la Lune (ben ouais et les marrées alors, tu vois, c'est une preuve quoi...) quand il s'agit de notre plus grand capital beauté: 
la tignasse!!

Pour vous. Inédit. Voici votre nouveau super-héros :

Le Calendrier Lunaire  

(si si, ça existe vraiment, cliquez sur le lien... mais revenez sur mon blog après, hein!)

Canicule

Un cri de désespoir...

Lucy rentre tranquille de vacances. Elle est pimpante. Il fait encore beau et chaud. L'été est toujours là... sauf... qu'elle s'aperçoit qu'elle a raté l'exposition Tim Burton ! BOUHOUH...

Portugal insolite - Nazaré

Ce modeste village de pêcheurs est connu de quelques touristes pour ses plages façon Copacabana : géantes! (et Lucy sait de quoi elle parle).

Mais ne vous fiez pas à cet air tranquille et provincial, à ces odeurs de poissons grillés communes à l'ensemble de ce pays maritime... ses ruelles escarpées et places ensoleillées sont envahies par par un réseau mystérieux de mamies en costume traditionnel, brandissant leur pancartes "appartamiento".

Leur mine triste nous pousse presque à leur louer une chambre alors que nous avons déjà un hôtel. Tel Ulysse face aux chants des sirènes, nous parvenons à nous maîtriser.

Carnet de croquis

Carnet de croquis - portrait

Les mamies du métro

Quel sale temps ?

Faites comme s'il n'était pas là, 

il finira bien par se fatiguer.

Carnet de croquis

Guest Star : Marion. B

21 avril : anniversaire de l'illustratrice Marion B. de Bordeaux ;-)

Joyeux Anniversaire Marionnette !

L'occasion de vous offrir un aperçu de son univers :

Carnet de croquis

L'apprentissage par l'expérience

Vienne insolite (3)

Who's who?

Petit dej étrange et un peu miteux dans un café qui ne doitpas connaître Internet, voire la télévision. C’est un peu Good Bye Lénine ici.L’anglais, connaissent pas non plus. On commande donc au pif. Mon gâteau quiavait pourtant belle allure a le goût du tabac froid…

Derrière nous un mélange de John Galliano et de LuciusMalefoy est interviewé par un journaliste tout droit sorti des années 30’. Brushing impeccable, vestede velours, il prend des notes sur un carnet de cuir avec un stylo plume.Lucius, lui, est très bavard. Mais on ne comprend pas l’allemand, c’estrageant ! Il n’arrête pas de regarder si on le reconnaît. Il répète 60fois le mot « museum » et 40 fois le mot « konzerte ».C’est un artiste mais qui ???

On réfléchit aux artistes autrichiens connus avec descheveux blancs attachés en catogan …

Excusez-nous, est-ce que vous êtes Mozart ?

Viennes insolite (2)

Hundertwasser, l'original.

Sachez que l'Autriche a son Gaudi!

ça demande à être connu.

Vienne insolite (1)

A Vienne je n’ai jamais vu autant d’hommes nus de ma vie !

Je m’explique. Dans notre hôtel nous avions la chance d'avoir un hammam. Eh bien là-dedans c’est tout le monde à poils ! Hommes comme femmes, jeunes comme vieux. D’ailleurs, à l’entrée il y a des panneaux très explicites interdisant l’accès aux maillots…
L'indifférence totale face à la nudité m'a donnée une grande leçon de choc des cultures.
En bonne latine que je suis, j'ai gardé ma serviette... et j'étais ridicule...le pervers, c'était moi!

Frémissements du printemps

Café Pruckel & Sissi à Schonbrunn

Petit dej’ au Café Prückel.

Ah qu’on est bien !

C’est grand, c’est confortable, ces grosses banquettes et cette déco qui n’a plus bougé depuis les 50’s. Les serveuses sont adorables et rigolent de tous les trucs autrichiens que l’on goûte en vrac (un PunschTorte suivi d’œufs/saucisses ça ne nous fait pas peur !)

C’est hyper calme et douillet, les gens se repaissent des grands rayons de soleil de ce dimanche matin, tranquillement, leur journal dans une main, leur Einspänner dans l’autre.

Le château de Schönbrunn.

Ça avait l’air sympa de vivre dans ce château !

Non mais vraiment… c’est pas comme Versailles par exemple.

Toutes les pièces sont telles qu’elles étaient meublées à l’époque de Sissi et on sent qu’ils privilégiaient la vie de famille à la cour. Les salles sont à ‘taille humaine’, plutôt fonctionnelles que d’apparat. Bon après, on a la galerie des glaces, là aussi, dont la vocation est d’en jeter plein la vue, et ça marche.

Ils nous ont même reconstitué une Sissi avec sa chevelure jusqu’aux pieds. L’audio guide nous apprend ainsi qu’elle avait son caractère la Sissi. Elle avait même une vision très féministe du mariage ! «  le mariage est une institution absurde. Enfant de 15 ans, j'ai été vendue… » (la suite de la citation bien plus intéressante mais je n’ai jamais réussi à la retrouver…)

Le parc du château est fait de jardins à la française et de petits bosquets où l’on surprend des canards qui batifolent dans la neige. Vouais fait un froid de canard !

En ce dimanche après-midi ensoleillé, les enfants s’amusent à descendre la pente de la Gloriette en luge et à glisser sur les bassins gelés malgré les panneaux « Verboten ».

Le soleil brille dans la neige, et on s’éclate comme des gamins.

Journée de la femme : Le plafond de "verre"

Le Nouveau Festival du Centre Pompidou 2012

Vienne - Palais des Habsbourg et Staatsoper

Le palais des Habsbourg, c’est beau mais c’est froid : comme un Viennetta !      

                                                                                                                                         

Café Latte et Nusstorte au Café Demel pour se réchauffer. C’est sûr c’est beau ces boiseries blanches et ces lustres scintillants mais ça fait bizarre de faire la queue comme au Mac Do…  

Soirée à l'Opéra Staatsoper.

Le spectacle est dans la salle et à l’entracte : les viennois savent sortir !

 Robes de cocktail qui miroitent dans la splendeur des salons aux riches ornements et où les hommes en trois pièces se pressent pour une coupette. Les décolletés sont plongeants et les regards aussi. On est transportés dans le siècle passé.

Pratique immédiate des savoirs théoriques

Ou Les principes du Management

Vienne - la Cathédrale Stephans Dom

Balade dans le centre historique de Vienne.

On crie.

Non pas de joie, mais de froid. C’est irrépressible.

Visite de la Cathédrale Stephansdom : choc visuel. De l’extérieur, avec son toit coloré et son style Baroque, elle nous surprend par une flèche Gothique.

On en fait le tour et, surprise, la façade est complètement romane. Magnifique.

3 époques en une seule cathédrale.

Et la place du Graben en rajoute une couche avec tous ses immeubles typiquement viennois et au centre la Haas Haus qui contraste fortement dans sa modernité vitrée extrême.

Une virée à la campagne pour un peu d'exotisme au Musée International d’Art Naïf

Attention découverte !

Parce que Beaubourg on connaît par cœur, parce que le Grand Palais y a trop de monde, que le Louvres : on veut tout faire mais on finit toujours dans la galerie des italiens de la Renaissance, que Orsay : on se caille dehors une heure pour finalement apprendre que ça ferme (bon la liste pourrait être longue, hein), hé ben on cherche des petites pépites de nouveauté..

Niché dans les Yvelines, à Vicq (30 min de Paris), le Musée International d’Art Naïf est ma dernière trouvaille pour les amateurs d’art affamés.

Déjà, c’est à la campagne, au cœur d’un joli jardin/verger (le jardin du MIDAN). Ça aère quoi. 
Ah ! les joies retrouvée d’un ciel dégagé, des champs à perte de vue, de l’odeur du foin mouillé et de la mousse dans les vieilles pierres des bâtisses de la Beauce, c’est beau !

  

Ensuite ce musée a investi les murs d’un corps de ferme transformé en maison et légué par Max Fourny et son épouse l’artiste peintre Françoise Adney, qui organisaient déjà des expos d’art naïf. (leur collection est répartie entre ce musée et la Halle St Pierre à Paris, que j’adore aussi).

Enfin et surtout, les expositions de ce musée sont d’une rare qualité. Riches et variées elles font voyager à travers une thématique précise grâce des œuvres subtilement sélectionnées et réparties dans les grandes pièces de la maison. On s’y sent bien. C’est calme. C’est fourni. C’est cohérent. Ça plonge dans la méditation propice à l’appréciation de l’Art.

Actuellement vous pouvez y découvrir les peintres Naïfs Américains d’Ottawa à Buenos Aires. 
Gros coup de cœur pour les peintres Haïtiens qui ont un style bien particulier. 
Et puis, pour ceux qui ont un peu bourlingué, c’est plaisant de reconnaître en style naïf, les paysages des hauts plateaux d’Argentine et dans la salle suivante les lacs gelés du Québec.


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